Le monde du travail connaît un bouleversement radical, passant d’une approche rigide et hiérarchisée à une ouverture où le partage d’idées et la collaboration sont au cœur de l’entreprise. Le networking, autrefois réservé aux élites et souvent perçu comme un fardeau, se démocratise et se réinvente. Aujourd’hui, nous rencontrons John, une figure émergente de ce mouvement, qui nous présente le B19, un business club belge révolutionnaire.
Le B19, un cercle d’affaires « anti-codes »
Selon John, le B19 est « un lieu de rencontre pour tous ceux qui contribuent à l’économie du pays, sans égard à la position ou au statut ». Il nous confie que ce cercle d’affaires, dont le nom provient du bâtiment où tout a commencé, casse les codes traditionnels en privilégiant la convivialité et le networking informel. Pas de dress code, pas de places VIP, tout le monde est le bienvenu.
Un cercle d’affaires informel, mais haut de gamme
Allier informel et haut de gamme ? C’est, selon John, la promesse du B19. Bien que convivial, B19 reçoit en effet des orateurs et conférenciers de haut niveau, à priori très difficilement accessibles en Belgique. Pour n’en citer que quelques-uns, on retrouve notamment Yannick Bolloré, CEO de HAVAS MONDE, Gilles Pellisson, PDG du groupe TF1 ou encore Alexandre Bompard, CEO de Carrefour. Puis, des partenaires prestigieux tels que PORSCHE et VEUVE CLICQUOT collaborent également avec ce cercle d’affaires.
Des services accessibles et conviviaux
Malgré son côté haut de gamme, le B19 mise sur la simplicité et l’accessibilité. Pour une cotisation annuelle de 600 euros, les membres bénéficient d’une multitude de services. Petit-déjeuners et afterworks sont organisés régulièrement, avec une place centrale pour le networking. Mais le clou de l’offre B19 reste le « business speed dating », organisé une fois par mois, où les membres ont la possibilité de faire connaissance et d’échanger dans un cadre informel et ludique.
Une notoriété grandissante
Grâce à son partenariat avec le Campus 19, le B19 a pu étendre sa notoriété, en particulier en Flandre, et s’imposer comme un cercle d’affaires national incontournable. « Nous avons bénéficié de la notoriété du Campus 19 qui a aidé à établir notre présence au niveau national », explique John. Ce partenariat a permis au B19 de consolider sa position et d’élargir son influence.
Work Hard, Play Hard : le nouveau leitmotiv du monde des affaires
Le B19 incarne une nouvelle vision du monde du travail : l’idée que le plaisir et l’effort ne sont pas incompatibles, mais au contraire complémentaires. « Break Boundaries, Build Business », telle est la philosophie du B19, un esprit qui se reflète à travers tous les services offerts par le cercle.
Une diversité à encourager
La diversité est une valeur fondamentale du B19. « 30% de nos membres sont des femmes, mais notre objectif est d’atteindre 50% », affirme John. Le B19 est fier de sa diversité et s’engage à renforcer cette dernière.
Vers un futur égalitaire et accessible
John nous assure que l’égalité et l’accessibilité sont les valeurs centrales du B19. « Nous croyons que tout le monde est égal devant le monde du travail », déclare-t-il. De plus, le B19 se veut accessible à tous, raison pour laquelle la cotisation annuelle est fixée à un montant abordable de 600 euros.
En somme, le B19 redéfinit ce qu’est un cercle d’affaires en mettant l’accent sur l’égalité, l’accessibilité et le plaisir au travail. Une nouvelle approche du monde des affaires qui pourrait bien révolutionner le paysage entrepreneurial belge.
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